Dans les sociétés d’études ça coince sur les salaires


Mai -Juin 2018

Les salariés des sociétes d’études en lutte pour les salaires:

24 mai : ADP-Gsi Environ 50 grévistes à Toulouse le  soit 50 % du personnel présent sur site ce jour là. 

Jeudi 31 mai : après plusieurs débrayages pour augmenter les salaires et contre le système d’évaluation , 50 des salariés de CAPGEMINI/ SOGETI et de l’interpro ont distribué des tracts sur deux entrées d’AIRBUS.

5 juin :  A l’appel des syndicats Cfdt, Cfe-Cgc, CFTC, FO, UNSA et la Cgt, les salariés d’Atos  en grève le mardi 5 juin après-midi pour défendre une augmentation générale des salaires. Ils se rassemblés dès 13h sur le patio de l’entreprise (6 impasse Alice Guy – Toulouse Saint Martin

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2014
Au rond point de la Crabe le 12 juin, les salariés des entreprises sous-traitante d’AIRBUS sont invités à participer à un pique nique revendicatif.

Parce que les salariés de la sous-traitance d’étude sont, dès aujourd’hui, les 1ères victimes des décisions stratégiques d’Airbus ; parce qu’ils sont des dizaines déjà – et des milliers bientôt – à perdre leur emploi ou à subir des pressions visant à les faire quitter leur entreprise.

AERO1erMAI

Parce que la patiente et discrète transformation d’Airbus Group en pompe à fric produira des effets désastreux sur nos emplois, sur nos conditions de travail et sur nos conditions de vie,

Parce que la sauvegarde de ces emplois serait économiquement insignifiante pour un groupe aussi prospère qu’Airbus et stratégiquement vitale en ce qui concerne les compétences et le savoir-faire,

Parce que l’industrie aéronautique et spatiale est un joyau dont la compétitivité est menacée,

Parce qu’il y a urgence à ce que tout cela se sache et parce qu’il y a urgence à agir,

Parce que les salariés ont le droit de savoir ce que la CGT sait et parce que la CGT a besoin de faire savoir aux salariés ce qu’elle sait

 

 

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