Rassemblement samedi 28 octobre à 14 heures – Jean Jaurès (côté Ramblas) – Attention rassemblement annulé !

Ce rassemblement pour la paix, pour un cessez-le-feu immédiat, la levée du blocus de Gaza et pour l’ouverture d’un processus de paix a été interdit par la préfecture notamment parce que le préfet juge : « que ce rassemblement présente le risque qu’y soient tenus des propos pénalement répréhensibles d’apologie du terrorisme et d’incitation à la haine qui sont contraires à la dignité de la personne humaine« .

Donc appeler à la paix risquerait, selon le préfet, d’inciter la haine. Cette décision est tout simplement honteuse, abusive et constitue une grave atteinte à la liberté de d’expression qui est supposé être un droit constitutionnel. Il révèle surtout l’autoritarisme et la faiblesse d’un pouvoir plus radicalisé que jamais : sans majorité à l’assemblé, isolé du peuple qui a très largement désapprouvé son action lors de la mobilisation au sujet des retraites et qui est incapable d’apporter la moindre solution à la vie chère qui plombe la vie de la population. L’autoritarisme ne sera jamais une réponse démocratique à la contestation populaire !

L’appel initial :

Pour une paix juste et durable entre palestiniens et Israéliens  

Halte au massacre à Gaza !

Levée du blocus !

La France doit demander un cessez le feu immédiat !

Sophie Binet la Secrétaires Générale de la CGT à la bourse du travail !

En visite à Airbus, Sophie BINET #CGT passe par la Bourse du Travail.

Les camarades lui ont présenté les drapeaux des syndicats conservés depuis 131 ans dans nos murs inaugurés par Jean JAURES et qui ont vu passer Jean MOULIN, , Georges SEGUY, Henri KRASUCKI et tant d’autres…

Sophie BINET #CGT à la rencontre des salariés d’Airbus, s’est arrêté à la Bourse du Travail pour faire le point sur les inacceptables interdictions de manifester pour la Paix et les menaces du maire de Toulouse contre la Bourse.

Samedi 21 Octobre – Liberté pour Georges Abdallah ! Solidarité avec le peuple palestinien

Comme chaque année l’UD CGT 31 se joint à l’appel unitaire (voir ci-dessous) pour appeler à la manifestation nationale du samedi 21 octobre pour la libération de Georges Abdallah devant les portes de la prison de Lannemezan.

 Communiste libanais et militant de la cause palestinienne, il entrera dans sa 40e année de détention le 24 octobre prochain alors que celui-ci est libérable depuis 1999.

Organisations de Toulouse et sa région, nous appelons à participer largement à la manifestation nationale pour sa libération ce samedi 21 octobre 2023 dès 14h de la gare à la prison de Lannemezan (65) où il est détenu.

Déplacement collectif organisé par l’UD 31.

Ensemble pour une paix juste et durable au Moyen – Orient. Ensemble pour l’urgence d’un cessez – le – feu immédiat !! Attention Rassemblement annule !

Attention Rassemblement annulé ce vendredi 20 Octobre, 18 heures à la Bourse du travail de Toulouse

🚨🚨 ANNULATION RASSEMBLEMENT DE CE SOIR 🚨🚨

Le juge du tribunal administratif de Toulouse vient de statuer sans audience

Il rejette le référé que nous avons déposé.

Ce jugement uniquement politique qui contredit le jugement de droit d’hier au soir à Paris ainsi que l’avis du Conseil d’Etat, confirme la gravité et l’ampleur de l’attaque
envers le monde du travail , la citoyenneté , les organisations sociales, les institutions de la République ect… Bref, nous assistons à une attaque d’envergure contre la démocratie .

Dans l’immédiat , prenant en compte les responsabilités qui nous incombent, nous sommes dans l’obligation d’annuler le rassemblement de ce soir
afin de n’exposer personne au risque d’amendes et/ou d’arrestations arbitraires .

Une conférence de presse se tiendra en lieu et place.

Dans les jours prochains , nous réfléchirons aux modalités de résistance et de contre-offensive unitaire et massive pour répondre victorieusement aux heures sombres que traverse notre pays .

Même si c’est dur et éprouvant nous ne devons rien lâcher collectivement. C’est l’honneur de notre combat !!!

Le bureau de l’UD CGT 31

Ensemble pour une paix juste et durable au Moyen-Orient !
Il y a urgence :
CESSEZ-LE-FEU IMMEDIAT ! LEVEE DU BLOCUS DE GAZA !
RASSEMBLEMENT A LA BOURSE DU TRAVAIL DE TOULOUSE (PLACE SAINT-SERNIN) VENDREDI 20 OCTOBRE – 18h00


« L’affirmation de la paix est le plus grand des combats »

– Jean Jaurès (1914)


Une nouvelle fois, l’horreur de la guerre s’abat sur le Moyen-Orient, en Palestine et en plein cœur de l’Etat d’Israël. Le nombre des victimes militaires et civiles augmente chaque jour. Hommes, femmes et enfants ont été tués de façon atroce par le Hamas, d’autres sont pris en otage. Depuis, Gaza est bombardée jour et nuit en représailles.


Deux millions de Palestiniens, hommes, femmes, enfants, subissent un tapis de bombes
et doivent fuir – mais où ? – ou périr sous les bombes de l’armée israélienne dans la plus grande offensive militaire engagée depuis 1967. On évacue manu militari les hôpitaux que l’armée israélienne menace de bombarder. Lancées dès le début de la riposte israélienne, les accusations documentées d’usage par Tsahal de munitions au phosphore blanc nous parviennent chaque jour par les ONG présentes sur place.

Gaza est en état de siège : plus d’eau potable depuis des jours, plus d’électricité, plus de nourriture. Les organisations politiques, syndicales et les associations de Haute-Garonne soussignées condamnent avec la plus grande fermeté toutes les attaques perpétrées contre des civils qui sont autant de crimes de guerre commis de part et d’autre.
Les peuples ont le droit légitime à la paix et à la coexistence pacifique, pas au déchaînement de la barbarie !
C’est pourquoi, nous exigeons de notre gouvernement qu’il mette tout en œuvre pour obtenir un cessez-le feu.
Notre gouvernement à la responsabilité de tout faire pour obtenir un cessez-le feu immédiat, et un processus diplomatique et humanitaire sous l’égide de l’ONU pour sortir de l’impasse.
Nul ne peut ignorer que le non-respect des résolutions de l’ONU concernant le peuple palestinien, le non-respect des droits de l’Homme et du Citoyen comme du droit international, l’absence de solution politique négociée sont la porte ouverte à la généralisation de la guerre.
Alors que Netanyahou explique aujourd’hui son plan pour raser Gaza par les bombes, le soutien du gouvernement français à des crimes de guerre et au nettoyage ethnique perpétrés par Israël est révoltant.


Les libertés publiques gravement menacées sur tout le territoire français
Les interdictions systématiques de manifestations et de conférences en soutien au peuple palestinien se multiplient. L’arrêté d’expulsion pris le 16 octobre par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, à l’encontre de Mme Mariam Abudaqa, docteur en philosophie et militante palestinienne de longue date, dûment invitée en France, est une atteinte intolérable aux libertés et à aux traditions républicaines d’accueil de notre pays.

Les procès en anathème dès lors qu’on refuse l’escalade militaire et qu’on milite pour la paix, sont inacceptable. Dans nombre de pays, le droit de manifester son indignation face à l’escalade, pour le cessez-le-feu, pour une solution politique et diplomatique au conflit, est préservé.

En France, Darmanin et Macron l’interdisent, organisent répression et intimidations.


Nous exigeons :

  • Cessez le feu immédiat !
  • Levée immédiate du blocus de Gaza !
  • ouverture d’un processus de paix sous l’égide de l’Onu, qui soit respecté

Premiers signataires : CGT 31, FSU 31, Solidaires 31, NPA, PCF, PG, FI, GDS 31, GES 31, POI 31, PCOF 31, MRAP 31, LDH, Mouvement de la paix, MJCF Toulouse, Libre pensée, CNL 31 , CCFD Terre Solidaire…

Le communiqué de presse confédéral :

Stopper immédiatement le bain de sang à Gaza !

Depuis 10 jours, la population de Gaza subit des frappes terribles en représailles des actes de terreur perpétrés par le Hamas le 7 octobre dernier. La CGT a condamné sans ambiguïté cette politique du pire qui dessert la cause palestinienne. Elle ne s’étonne pas de ce que le Hamas fasse ce type de choix, lui qui viole les droits des femmes et multiplie les arrestations arbitraires depuis près de 20 ans à Gaza, imposant une double peine à l’enclave, maintenue sous un blocus scandaleux par Israël depuis 2007.

Mais, la réponse ne peut en aucun cas être celle de la punition collective du peuple palestinien. D’autant que le gouvernement israélien porte une lourde responsabilité dans la situation actuelle. Rappelons les inacceptables propos de Benyamin Netanyahou devant les parlementaires du Likoud en mars 2019, pour justifier son autorisation de transferts de fonds Qataris vers Gaza : « Quiconque est opposé à un État palestinien devrait être favorable (à ces transferts). » Une « stratégie », comme le confesse alors le Premier ministre israélien, qui vise à affaiblir l’autorité palestinienne, en soutenant de facto le Hamas.

En une dizaine de jours, à Gaza, plus de 3000 civils dont près de 1000 enfants ont payé de leur vie cet escalade de la violence aveugle. On annonce, désormais, comme inéluctable une catastrophe humanitaire majeure sur fond de déplacement d’un million de personnes sur un territoire de 40 kilomètres de long ceint par un mur et des miradors atteignant 10 mètres de haut sur trois côtés et par la mer sur le quatrième. Les réserves d’eau et de nourriture ne permettent à cette population de tenir désormais que quelques jours. L’accès aux soins et à l’électricité est presque impossible aujourd’hui. De nombreuses voix s’élèvent pour exiger que l’aide humanitaire rejoigne sans délai la bande de Gaza mais Israël ne semble pas vouloir les entendre. Une fois encore, dans cette région du monde, le droit humanitaire le plus élémentaire se trouve bafoué.

La CGT exige de la France, membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, qu’elle mobilise sans délai les ressources de sa diplomatie pour obtenir un cessez-le-feu immédiat et pour que l’anéantissement annoncé du nord de Gaza, par une offensive terrestre, maritime et aérienne de grande ampleur, ne se produise pas. Elle exige, aussi, que tout soit mis en oeuvre pour venir en aide aux populations civiles. La générosité et les dispositions exceptionnelles (de protection temporaire notamment) mises en oeuvre avec raison dans l’accueil aux populations ukrainiennes fuyant la guerre doivent également s’activer en direction des populations palestiniennes !

La CGT exige, enfin, que cesse immédiatement la criminalisation de l’expression d’un soutien au peuple palestinien victime des bombardements. L’interdiction des rassemblements de solidarité avec les populations civiles meurtries par le conflit est inacceptable !

La CGT adresse, une fois encore, tout son soutien aux milliers de victimes israéliennes et
palestiniennes et à leur famille et exige la libération de tous les otages et personnes
injustement détenus. Elle continuera à agir pour la paix et pour la reconnaissance pleine et
entière de l’État de Palestine et oeuvrera, en ce sens, avec ses partenaires syndicaux sur place et au plan international, dans le cadre de la CES et de la CSI. La CGT travaille actuellement à la construction d’un arc de forces le plus large possible en faveur d’un cessez-le-feu immédiat et d’une paix juste et durable pour cette région du monde.

Montreuil, le 18 octobre 2023

Meetings à la bourse du travail : réponse au maire de Toulouse

Toulouse, le jeudi 12 octobre 2023,

Monsieur le Maire, Président de Toulouse Métropole,

Nous avons été informé de votre courrier du 10 octobre par la presse, qui l’avait reçu accompagnant un communiqué qui lui était destiné ciblant les activités de la CGT.

A ce jour, nous n’avons toujours pas reçu ce courrier. Comme il semblerait que vous n’avez pas, non plus, reçu le courrier dans lequel nous protestions des tentatives de perturbation organisées par une de vos adjointes contre la réunion publique que nous avons organisée en mai dernier.

Il semble qu’un canal de communication doit être rétabli entre nous. Cela permettra d’éviter quelques incompréhensions et des problèmes qui pourraient facilement être évités par une communication directe.

Vous avez souhaité attirer notre attention sur la situation exceptionnelle créée par les massacres de population en Israël et en Palestine. Nous partageons l’émotion et la colère suscitées par cette abomination.

Vous connaissez suffisamment les prises de position de la CGT pour savoir que notre organisation milite depuis toujours pour la Paix dans le monde, en général et pour une Paix juste et durable entre palestiniens et israéliens en particuliers. Vous savez donc que nous sommes particulièrement soucieux de ne pas en rajouter à la haine et au ressentiment.

La libération des prisonniers politiques est un élément constitutif de l’aboutissement de tous les processus de paix. ElIe est indispensable pour intégrer et associer les organisations combattantes au processus politique. Nous l’avons vu en Afrique du Sud, nous en avons fait l’expérience en Europe en Irlande du Nord.

Notre région Occitanie a le triste privilège de détenir le plus ancien prisonnier d’Europe à la prison de Lannemezan. Georges ABDALLAH entame ce mois d’octobre sa 41ème année de détention alors même qu’il est libérable depuis 1999 selon les règles du droit français.

Pour ces raisons, aussi bien que pour des considérations humanistes, chaque mois d’octobre depuis plus de 10 ans nous nous mobilisons pour la libération de Georges ABDALLAH en organisant des meetings et des manifestations.

Nous n’avons jamais eu de remarques sur ces initiatives qui se sont toujours déroulées pour le mieux.

Nous prenons bien en compte que cette année, le contexte crée par la situation en cours en Palestine et en Israël entraîne une exacerbation des sensibilités et le risque de réactions inappropriées. Des décisions seront prises en temps voulu.

Pour l’instant, comme vous semblez l’appeler de vos vœux, notre activité est entièrement tournée vers la défense des droits des salariés. Nous tenions le 10 octobre un meeting « Contre la vie chère et Pour l’augmentation des salaires. » Et nous serons demain en tête de la manifestation unitaire sur le même thème à l’appel de la Confédération Européenne des Syndicats.

Si l’intérêt que votre courrier semble porter à la défense des droits des salariés n’est pas feint, nous sommes prêts à venir vous rencontrer dès demain, avec les syndicats concernés, pour négocier les augmentations de traitement des fonctionnaires territoriaux de la Mairie et de la Métropole et rétablir la clause de sauvegarde pour les agents Tisséo.

Nous en profitons pour vous demander d’interpeller les députés de votre camp politique et le gouvernement sur la nécessité :

  1. d’abroger la loi reculant l’âge de la retraite,
  2. d’augmenter massivement les salaires,
  3. de porter la durée légale du temps de travail à 321100 hebdomadaires.

Veuillez agréer, Monsieur le Maire, Président de Toulouse Métropole, l’expression de notre considération.

Grève et action du 13 octobre 2023 – APPEL SYNDICAL UNITAIRE

En France et en Europe, mobilisé·es contre l’austérité, pour les salaires et l’égalité femmes-hommes.

A Toulouse : Manifestation 10h départ St Cyprien

A Muret : Manifestation départ 14h allées Niel

A St Gaudens : Manifestation départ 15h30 Jean Jaurès

En France comme dans toute l’Europe, nous sommes des millions à pouvoir mettre la pression au patronat, aux gouvernements et aux parlements. Ils cherchent à imposer des politiques dites « d’austérité » en abimant les services et les biens publics – mais aussi nos industries – au profit de cette finance qui capte les richesses crées par le travail. Fort·es de la mobilisation historique pour les retraites, nous sommes déterminé·es, uni·es dans une intersyndicale à l’offensive pour gagner des droits en faveur du monde du travail.

D’autres choix sont possibles ! Chaque année, 200 milliards d’’euros d’aides publiques fiscales ou sociales sont données aux entreprises sans aucun contrôle ni contrepartie. Les budgets des services publics et de la sécurité sociale seront bientôt discutés au Parlement. C’est le moment de faire entendre la voix des travailleurs et des travailleuses : nous voulons vivre dignement de notre travail, travailler moins et mieux, avec des budgets au service de l’intérêt général et non des intérêts particuliers.

Pourquoi se mettre en grève et rejoindre des cortèges ?

Pour nos salaires

Alimentation, loyer, énergie, transports : tout augmente sauf les salaires. Pendant ce temps, les grandes entreprises continuent de multiplier leurs profits sans rien lâcher en contrepartie. Grâce à nos mobilisations, c’est l’augmentation générale des salaires qui est aujourd’hui le mot d’ordre commun : du salaire net pour vivre au jour le jour et du salaire brut (maladie, maternité, chômage, retraite…) pour nos protéger tout au long de nos vies.

La CGT est mobilisée pour l’indexation des salaires sur les prix pour que les fiches de paye ne soient plus amputées par l’inflation et l’ouverture de négociations dans l’ensemble des entreprises, des branches et dans la fonction publique.

Pour l’égalité

Malgré l’affichage « grande cause nationale », les femmes sont toujours payées un quart de moins que les hommes, en moyenne.

La CGT est mobilisée pour l’égalité salariale et professionnelle : revalorisation des métiers à prédominance féminine ; refonte et transparence pour l’Index ; pénalisation des employeurs qui discriminent.

Pour nos services publics

Hôpitaux, petite enfance, aide à l’autonomie, travail social, écoles, enseignement supérieur, recherche… nos services publics sont à l’agonie.

La CGT est mobilisée pour des investissements massifs dans les services publics de proximité et de qualité qui privilégient l’accueil physique des usager·es.

Pour l’environnement

Les conséquences du dérèglement climatiques sont dramatiques. Il est urgent d’agir pour une transition écologique socialement juste et une réelle planification, construite avec les travailleuses et travailleurs, afin d’anticiper les besoins en formation et qualification ainsi que la création ou recréation de filières entières.

La CGT est mobilisée pour conditionner les aides publiques à des critères sociaux et environnementaux élaborés avec les salarié·es et leurs représentant·es.

Pour nos retraites

La réforme des retraites qui s’applique depuis le 1er septembre est toujours aussi injuste, brutale, injustifiée et impopulaire. Le combat se poursuit en mettant la pression dans les négociations en cours pour l’Agirc-Arrco (retraites complémentaires) et celles qui doivent s’ouvrir dans les branches au sujet des départs anticipés.

La CGT est mobilisée pour la retraite à 60 ans et avant en cas de pénibilité, ainsi que la prise en compte des années d’études dans le calcul de la retraite.

Pour nos droits

De nombreuses luttes font irruption dans le paysage médiatique. Elles ne sont que la pointe de l’iceberg. Partout où les salarié·es s’organisent dans un syndicat, le rapport de force se renverse et des avancées concrètes et quotidiennes deviennent possibles (voir cgt.fr/luttes-gagnantes).

La CGT est mobilisée pour rassembler les salarié·es, écouter et porter les revendications, les représenter dans les instances et dans les mobilisations et gagner des avancées réelles et durables dans l’intérêt du monde du travail.